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Qu'es ce que la psycho-bio-thérapie ?

psycho-bio-thérapie

[psycho-bio-thérapie]La psycho-bio-thérapie est une discipline issue de la rencontre entre la thérapie brève et le décodage biologique. D’autres apports, principalement thérapeutiques, viennent enrichir cette approche qui considère l’individu dans son entier, comme un corps en interaction constante avec un psychisme, inscrit dans l’évolution biologique des espèces et faisant partie d’ensembles englobants : famille, culture, humanité.

C'est une « thérapie brève » orientée vers l’écologie de l’individu.

La psycho-bio-thérapie nous propose de trouver le sens de ce qui nous arrive, de ce qui agit en nous, d’accéder à nos ressources intérieures pour révéler notre être profond et parvenir à une vie plus satisfaisante davantage en accord avec nos valeurs.

Evitant de s’apesantir sur le pourquoi « ça va mal », afin de s’intéresser au comment « aller mieux », la psycho-bio-thérapie est à apparenter à la famille des thérapies brèves – on pourrait dire des thérapies à objectif, pour lesquelles, le patient sans nécessairement vouloir connaître tout son fonctionnement en détail, souhaite résoudre un problème précis, atteindre un but qu’il conviendra de définir clairement.

Une approche humaniste du lien corps-esprit

Corps et esprit sont en interaction constante. Par exemple, une digestion laborieuse peut influer sur notre humeur et inversement, une contrariété répétée peut provoquer un ulcère à l’estomac.

Notre mémoire a aussi à voir avec notre corps et ses émois : une bonne odeur peut faire revivre tout un pan d’émotions et de souvenirs. C’est la fameuse madeleine de Marcel Proust !

Bref, nous sommes la somme de nos souvenirs, de nos émotions, de nos blessures, de notre histoire, de notre lignée etc.

L’homme est un être d’émotions en quête de sens, inscrit dans un processus d’évolution individuel, mais aussi biologique – son talent pour vivre remonte à près de 4 milliards d’années, depuis l’océan marécageux des origines de la vie.

Corps et psychisme sont indissociables
Parce que chacun et chacune est un corps soumis à un esprit, lui-même influencé par le corps. Ils interagissent constamment. S’imaginer soigner l’un en ignorant l’autre relève de l’utopie.
Les progrès fabuleux de la médecine occidentale permettent des diagnostics de plus en plus précis et un soulagement appréciable dans la vie quotidienne.
J’ai mal à la tête. Je prends du paracétamol et la douleur redevient supportable.
Le traitement facilite une maîtrise des symptômes. L’aspect le plus douloureux a disparu.
Bien.
Mais, suis-je guéri(e) pour autant ?

Une thérapie holistique
La psycho-bio-thérapie s’intéresse à l’être dans toutes ses dimensions : corps (symptomes), cœur (émotions) et esprit (pensées). L’aspect somato-émotionnel est bien le propos de cette approche.
Les découvertes à l’origine du bio-décodage ont mis en évidence une correspondance systématique entre le ressenti conflictuel, l’organe exprimant la maladie et la localisation de l’impact cérébral visible au scanner.

Agir à un niveau a de l’effet sur les deux autres. En effet, il est habituel que des événements « oubliés » surgissent à l’esprit après avoir libéré une émotion ; de même qu’une remise en mouvement lors d’une intervention sur le corps (ostéopathie, par exemple), peut faire remonter des émotions etc.
Aujourd'hui, la recherche en neurosciences sur les processus d’apprentissage, sur l'enregistrement de la mémoire et l’imagerie cérébrale confirment ces inter-relations.

Une pratique d’accompagnement intégrative
Si le point de vue, celui de la biologie, est assez nouveau, l’objectif reste celui de toute thérapie : permettre à la personne en difficulté de trouver en elle les ressources nécessaires afin d’accéder à un mieux-être et favoriser la guérison.
Les techniques, notamment en thérapie brève, qui ont fait leurs preuves trouvent leur juste place dans cette approche.
Plus particulièrement, l’hypnose ericksonienne, respectueuse de l’individu, et la PNL dont l’efficacité peut être étonnante malgré l’apparente simplicité des protocoles qu’elle propose.
Cet accompagnement thérapeutique ne remplace d’aucune façon un suivi médical, même s’il peut le compléter.

La Psycho-bio-thérapie peut aider pour :

donner du sens à un symptôme, une maladie,
accompagner un traitement médical,
devenir davantage acteur de sa guérison,
franchir une étape difficile ou traverser un deuil,
mettre en lumière la cohérence de sa vie,
faire le point dans son parcours,
agir avec davantage de conscience,
modifier un comportement inadapté,
sortir d’un scénario d’échec,
dépasser une peur, un fonctionnement limitant,
se libérer d’une dépendance, d’une phobie,
accéder à ses ressources intérieures,
se reconnecter à sa dynamique personnelle,
trouver sa juste place dans son environnement,
rendre ses relations plus satisfaisantes,
atteindre un mieux-être.

Article inspiré et extrait du site  www.psychobiotherapie.com

Echouer nous permet-il de réussir ?

[Peur de l'échec]Il nous est parfois arrivé de croisé sur notre chemin cette PEUR de l'échec.
La peur d'échouer dans cette relation, la peur d'échouer à cet examen,
la peur de ne pas arriver au bout de ce projet, de ne pas y arriver …
 
Au final on est là, on fait du sur place, on attend, on se pose des questions, beaucoup de questions « Est-ce que je suis vraiment sûr de ne pas me planter ? (En même temps plus on se plante plus on s’enracine) »
« Si je dis ça … si je fais ça … est-ce qu’il va penser ? …Est-ce que je ne vais pas la décevoir ? … »
Et pendant ce temps-là le stress monte et il ne se passe RIEN.
 
JE VOUS SOUHAITE D’ÉCHOUER !! Pour réussir je vous souhaite d’échouer et je vous invite à échouer.
 
Alors pourquoi je vous d’échouer ? 
 
SI VOUS NE FAITES RIEN, VOUS AVEZ DÉJÀ ÉCHOUER

Si vous ne passez pas à l’action vous avez déjà ECHEC.
La pire chose qu’il peut vous arriver quand vous passez à l’action c’est de réussir.
C’est mathématique plus vous testez, plus vous essayez, plus il y a de chance que vous réussissiez.
Alors provoquez des échecs dans votre vie car…
 
LA PEUR DE L’ECHEC EST LIÉE AU FAIBLE NOMBRE D’ÉCHEC QUE VOUS AVEZ EU DANS VOTRE VIE

On constate que les personnes qui réussissent sont des personnes qui ont eu de nombreux échecs.
Moins vous avez eu d’échec, plus vous avez peur d’échouer ET plus vous allez être sensible à ce que les autres vont penser de vos échecs.
Echouer ça s’apprend ! Echouer régulièrement augmente les chances de réussir, vous donnez alors l’opportunité à votre cerveau d’associer du PLAISIR à l’ÉCHEC et donc du plaisir à essayer, à passer à l’action.
 
JE NE FAIS PAS DES ACTIONS POUR RÉUSSIR MAIS POUR M’IMPLIQUER

Implicitement, quand vous ne faites rien vous indiquez à votre cerveau que vous en valez pas la peine.
Quand je fais des actions, je m’implique ET par définition je mise sur moi,
je donne l’indication à mon cerveau que j’ai de la VALEUR.
Quand j’ai de la valeur, c’est que je m’ESTIME. 

Quand vous vous impliquez et que vous vous autorisez à l’échec, vous créez de la FIERTÉ en vous.
Regardez ce qui crée de la fierté en vous, ce n’est pas de réussir mais de vous impliquer.
On est toujours fière de nous quand on a donné le meilleur de soi pour faire quelque chose.
En revanche quand on réussit et que l’on c’est impliqué à 20% on n’est pas vraiment fière de nous.
On est fière quand on s’implique !
On s’implique et au final l’apprentissage c’est
ECHEC = FIERTÉ = ESTIME = PLAISIR = VICTOIRE
Quand vous devenez cette personne en capacité de vivre n’importe quel échec, vous vous ouvrez à la réussite !
 
VOUS NE POUVEZ PAS RÉUSSIR SI VOUS N’ACCEPTEZ PAS L’ÉCHEC

C’est paradoxal, si vous n’acceptez pas le pire vous ne pouvez pas vivre le meilleur.
On ne profite pas pleinement de la vie, quand on a constamment un peur de la mort.
Avec l’échec et la réussite c’est la même chose.
Plus vous allez accepter l’idée d’échouer, d’être humilié, écrasé, plus vous allez ouvrir votre système nerveux à la capacité à réussir.
 
LES PLUS GRANDS DE CE MONDE ONT LARGEMENT ÉCHOUÉS …
 
On a dit à Walt Disney qu'une souris ne marcherait jamais au cinéma.
Il a été viré par un rédacteur de journal parce qu'il « manquait d'imagination et n'avait pas de bonnes idées »

Steven Spielberg fut refusé à l'école de cinéma... trois fois.
Il alla finalement dans une autre l'école, mais devint metteur en scène sans avoir obtenu son diplôme.

Quand les Beatles ont débuté, une société d'enregistrement leur a dit : « nous n'aimons pas votre son et les groupes à guitare sont en voie de disparition. Vous n’aurai pas d'avenir dans le show business. »

Steve Jobs a été viré de la société qu'il a créée.
Après avoir abandonné ses études et s'être fait licencier sans ménagement de la société Apple qu'il avait fondée, il était un homme fini, à 30 ans.
En 2005, il a expliqué « Je ne l'ai pas compris alors, mais il s'est avéré que le fait d'avoir été viré d'Apple était la meilleure chose qui me soit jamais arrivée. Le poids de la réussite a été remplacé par la légèreté d'être à nouveau un débutant sans certitudes. Cela m'a libéré pour entrer dans une des périodes les plus créatives de ma vie. »

Michael Jordan a été exclu de son équipe de basket-ball au lycée car il était trop mauvais.
Après avoir été exclu de son équipe de basket-ball du lycée, le jeune Michael Jordan rentra chez lui et pleura amèrement dans sa chambre.
Mais Jordan n'a pas laissé cet échec l'empêcher de jouer et la superstar du basket a déclaré un jour : « J'ai raté plus de 9000 tirs dans ma carrière. J'ai perdu près de 300 matchs. 26 fois, on m'a fait confiance pour prendre le tir de la victoire et j'ai raté. J'ai échoué encore et encore et encore dans ma vie. 

Et c'est pourquoi je réussis! >>


Voilà pourquoi JE VOUS SOUHAITE D’ÉCHOUER !! :)


Article inspiré de la vidéo de David Laroche "La peur de l'échec - WakeUpCalls #45" 

L'arrêt du tabac avec l'hypnothérapie

thérapie couple

L’arrêt du tabac grâce à l’hypnose consiste à trouver les bons interrupteurs et les presser pour créer un changement profond et complet de vos habitudes, peu importe si vous fumez beaucoup ou depuis longtemps.

Le travail se fait générallement en 1 à 2 séances suivant les besoins de chacun. 

La première séance débute par une discussion permettant de prendre connaissance de votre profil, suivie d’une séance d’hypnose personnalisée. La séance dure d’environ 1h30.






Le but de ce protocole pour l'arrêt du tabac est :

- de convaincre votre inconscient de devenir totalement et définitivement non-fumeur,
- de traiter les raisons conscientes et inconscientes qui vous empêchent d’arrêter de fumer,
- de désactiver automatiquement tous les mécanismes qui étaient liés à la cigarette,
- de séparer la cigarette de ce à quoi votre inconscient l’a associé à un niveau émotionnel,
- de faire le deuil de la cigarette sereinement,
- de vous orienter vers un futur positif sans cigarette.



Pourquoi agir maintenant ?


Tout simplement parce qu'il a des tonnes de raisons pour vouloir arrêter de fumer et vous avez sûrement les votres. 

Et surtout parce que VOUS l'avez décidé ! Qui mieux que vous peut prendre cette décision ?

Nos maladies sont-elles là pour nous guérir ? Notions de Décodage Biologique.

Ma conception va au-delà de la nécessité de perpétuer l'espèce. Mes parents avaient un projet pour moi et pour eux lors de ma venue au monde. Ce projet, leur permet d'accomplir à travers moi des choses qu'ils n'ont pas pu accomplir eux-même, de combler leurs besoins inconscients, de remplacer un être cher disparu trop tôt, etc... 

Chacun des parents a une intention précise pour moi. Ce projet est parfois ouvrant et souvent limitant. Il est parfois conscient et souvent inconscient et dans tous les cas m'imprime une direction de vie en concordance avec lui. Dans les premiers instants de la vie et jusqu'à la maturité, ce projet m'impacte fondamentalement car je suis loyal à ma famille sous peine de rejet ou d'abandon.

Ce projet est engrammé dans mes cellules, il me construit, il me structure et me permet de développer mes compétences et mes capacités propres. Puis à un moment il me limite car une partie de moi se rend compte que ce n'est pas le mien, que c'est celui de mes parents et plus largement de ma famille et qu'il n'est pas en concordance avec mes aspirations profondes. A ce moment là des conflits peuvent apparaitre. Ces conflits peuvent être interne (dépression, colère, peur, burn-out...) ou externes (conflit avec ma famille, ma fratrie,...). 

Il y a deux type de projet-sens :

Projet-sens et fidélité intra-familial: J'ai l'impression de n'être aimé et accepté dans cette famille que si j'obéis à ce que l'on m'a préparé comme avenir. Tu seras... médecin mon fils, sportive de haut niveau ma fille. Souvent en lien avec la profession ou les comportements (gentil(le), serviable, aimable, ...). Qu'adviendrait-il de l'investissement parental si je ne suis pas la voie qu'ils ont tracée pour moi?

Projet-sens et fidélité familial invisible: Je viens remplacer un frère, une tante, un grand-père décédé trop tôt ou un ancêtre renié, rejeté par la famille. C'est ma fonction dans ce clan, mon sens et ma raison d'être dans cette famille. Si je me plie à ces diktats, je serai bien vu, sinon...

Ce projet imprime une loyauté largement inconsciente et modèle ma vie dans le but de son accomplissement. Comme toute blessure inconsciente, il nous empêche de vivre pleinement notre propre vie. 

Comment faire pour s'en libérer?

Comme toute partie ou blessure inconsciente, la libération passe par la prise de conscience d'abord mentale puis corporelle et émotionnelle. Ce projet agit et guide notre vie principalement car il n'est que partiellement conscient ou même totalement inconscient. La libération passe par le questionnement de l'inconscient de chaque parent au moment où ils ont eu l'intention de me créer. 
Après la conscientisation, il y a une phase de choix volontaire d'accepter ou non le(s) projet(s) de chacun de mes parents.

Remarque importante: conscientiser le projet ne veut pas dire que je ne vais pas l'accomplir (par ex. être le meilleur golfeur du monde). Cela implique que je m'approprie ou non le projet. Si en conscience, ce projet me plait et que j'ai envie de le développer dans le reste de ma vie, cela devint mon choix. Ce n'est pas parce que ce projet n'est pas au départ le mien que je ne peux pas me l'approprier et être heureux avec lui.
N'hésitez pas à me contacter si vous avez envie de mettre en conscience et de vous libérer de votre Projet-Sens. 
Ce travail nécessite en générale deux séances d’accompagnement en thérapies brèves.

Article extrait du site  www.therapie-breve.info/le-projet-sens

Nos maladies sont-elles là pour nous guérir ? Notions de Décodage Biologique.

décodage biologique

Ce qui est formidable, au niveau de votre corps, c’est que la biologie s’adapte. La maladie est un ressenti non conscient qui s’incarne dans la biologie.

Ainsi, dans le corps, chaque organe a une fonction biologique:

l’estomac digère
les poumons respirent
les os soutiennent le corps
l’épiderme permet de toucher
le larynx d’exprimer, demander de l’aide
le rectum d’évacuer, libérer


Lorsque vous vivez un conflit interne avec une émotion désagréable, votre biologie est touchée. En effet, lorsque l'on a une émotion elle est toujours accompagnée de sensations corporelles (chaud, froid, tension, vertige, crispation, picotement, soufle coupé...).

Le plus étonnant, c’est que le cerveau ne fait pas la distinction entre un conflit biologique (réel) et un conflit émotionnel (imaginaire).
Par exemple, votre estomac sera touché si vous mangez un met indigeste mais il sera également touché si vous ne digérez pas le comportement d’un de vos proches à votre égard ou si vous êtes écœuré par les actes d’un illustre inconnu.

Ainsi, selon votre ressenti face à un événement :

si vous vous sentez seul et isolé, séparé, c’est l’épiderme qui sera touché car c'est lui qui permet le contact, le but de la biologie sera par exemple d'augmenter la surface de contact de la peau,
si vous n’osez pas demander, ce sera le larynx
si vous vous sentez bousculé ou au contraire, impatient, ce sera la thyroïde car c'est l'organe qui gére la notion de temps dans l'organisme.
....

Comme un enfant qui prend tout au premier degré, le symptôme dans votre corps, se présente comme une solution temporaire choisi par votre cerveau à votre problème.

En effet, si votre cerveau mesure que le stress est trop important et met en péril votre survie, il prendra le relais et agira avec la seule chose qu'il contrôle pour faire baisser votre stress : votre corps, vos organes, votre biologie !

Dans un conflit de séparation avec une personne par exemple, l’eczéma va faire en sorte que les cellules superficielles de la peau soient éliminées dans le but d’améliorer le contact avec la personne de laquelle on est séparée. Le cerveau trouve la solution biologique (son seul moyen d'action) au stress "je me sens séparé de" en réduisant la distance entre votre peau et celle de la personne dont vous vous sentez séparé. c'est un exemple de traduction biologique d'un ressenti émotionnel.

D'autre exemple :

Si c’est au niveau des cellules productrices de lait dans le sein que vous fabriquez trop de cellules, l’idée est de fabriquer plus de lait, et ainsi de nourrir d’avantage celui, celle que l’on croit en danger ;
Si vous avez plus de nausée et de vomissement, cela permet symboliquement d’éliminer plus de contrariété indigeste etc.

La forme que prend la pathologie n’est jamais le fruit du hasard. Le cerveau va ainsi modifier le fonctionnement de l’organe qui paraît le plus approprié pour répondre aux besoins du moment.

« Nous ne sommes pas là pour guérir de nos maladies, mais nos maladies sont là pour nous guérir ». Carl Gustav Jung


Les maladies sont là pour vous guérir… mais vous guérir de quoi? En général, de quelque chose qui est caché, invisible, inconscient. Il s’agit souvent d’un choc émotionnel oublié ou d’une mémoire transmise par vos ancêtres et dont vous ne connaissez même pas l’origine.

La maladie n’est qu’une réaction, elle n’est pas un problème en soi. Ce n’est pas le feu dans la maison mais la sirène du détecteur de fumée. Le véritable problème est caché par la maladie.

Imaginez par exemple qu’une femme souffre en apparence de stérilité. La stérilité n’est pas le problème, c’est juste une réaction. Qu’est ce qui peut bien être un problème transmis par les ancêtres et dont la stérilité serait une forme de solution, une réparation ?

Sans doute des mémoires d’enfants qui n’ont pas survécu et qui ont généré beaucoup de souffrances dans la famille.
Puisque dans la mémoire, les enfants meurent, en étant stérile, cette femme n’aura pas à souffrir d’une perte dont il est difficile de se remettre.


Vous comprenez comment, dans tout symptôme, comportement, le cerveau tente de trouver une solution à un problème, à un stress avec son seul outil : le corps.

Sources : Article inspiré du site http://www.forme-sante-ideale.com/procrastination-outil-gestion-du-stress/

Décodage biologique ou comment notre cerveau n’en a rien à cirer de notre BAC + 5

décodage Biologique

L’observation et l’écoute des patients par un nombre croissant de chercheurs, médecins, thérapeutes, mettent en évidence le lien intrinsèque entre une maladie et une émotion appelée : le ressenti biologique conflictuel.

Habituellement l’association de ces deux mots (décodage et biologique) induit l’incompréhension chez les gens qui n’en ont jamais entendu parler.

Pour résumer, je dirais que le Décodage Biologique permet d’expliquer, dans certains cas, la cause profonde d’une maladie physique, d’un blocage psychique, d'un comportement ou d’une difficulté existentielle grâce à la compréhension de nos réactions physiologique face au stress et à la connaissance de nos réflexes de survie primitifs.
Pour faire plus simple : Bien qu’aujourd’hui nous ne soyons plus menacés par l’attaque d’un mammouth, notre cerveau reptilien ne fait aucune différence entre un danger "réelle" qui peut être engendré par la rencontre avec cet animal ou par exemple, les menaces de notre patron, le danger "imaginaire". Lorsque l'on ressent un stress (un ressenti de danger par exemple) le système de traitement de l'information dans notre cerveau est le même que le danger soit réel (menace physique) ou imaginaire (plus psychologique dans ce cas). 


De la même façon, notre cerveau ne va pas faire la différence entre "une entrecôte de 800 gr" à digérer (stress réel) et une information du type "Vous êtes viré (stress psychologique) " que vous devez de la même façon "digérer".L'organe concerné pas cette information sera dans les deux cas, l'estomac qui biologiquement est fait pour nous faire digérer les choses. 

Dans les deux cas le cerveau reçoit l'information qu'il y a quelque chose de difficile à digérer et qui reste sur l'estomac. Dans le premier cas l'information arrive par des capteurs physiques et sensoriels au niveau de l'estomac et dans le second cas l'information arrive par votre ressenti (= sensation physique + interprétation psychologique) biologique conflictuel. 

Pour répondre aux stress (réel ou imaginaire) notre cerveau "le chef d'orchestre" n'a qu'un seul moyen d'action quand il ne trouve pas de solution extérieure (cela veut dire que le stress dure), c'est notre corps (il ne peut agir que sur notre biologie), son seul et unique moyen d'agir pour faire baisser le stress et cela dans le but de nous maintenir en vie !

Donc reprenons l'exemple de la menace de votre patron que vous avez du mal à digérer, si le stress dure et que vous ne trouvez pas de solution "extérieur" (je démissionne, je l'affronte, je l'attaque en justice, je renforce ma confiance en moi pour ne plus ressentir ses paroles comme des menaces....), l'organe que notre cerveau va utiliser pour digérer ce morceau (le ressenti de menace indigeste) sera l'estomac (donc besoin de plus d'acidité pour digérer : les symptômes pourront être des brûlures, ulcéres, reflux-gastrique...).

Lorsqu’un organe est considéré par la médecin comme « malade, déréglé », il exprime en fait cette fonction biologique (ce à quoi il sert biologiquement, ex: "l'estomac sert à digérer"), soit en manque (l'organe fonctionne au ralenti) soit en excès (il carbure, il produit plus, il est plus fort...) car le cerveau en bon chef d'orchestre pour nous maintenir en vie, lui a ordonné. 


"Ce sont des réflexes primitifs de survie de notre cerveau face à une information d'un stress/danger (réel = le prédateur ou imaginaire = se sentir en danger de... ) qui entraine des réactions physiologique (chimique et biologique) dans notre corps"


Le décodage biologique est donc l’art de décoder, d’écouter le patient de façon biologique, afin de retrouver l’instant d’entrée en maladie : le bio-choc ou psycho-choc (c-à-d le moment précis ou le cerveau primitif interprète un événement comme un danger pour notre survit).

Prenons pour exemple la cystite chronique :

La cystite est une inflammation aiguë ou chronique de la muqueuse de la vessie. Les symptômes sont un besoin urgent et fréquent d’uriner, avec émission d’une petite quantité d’urine, et des douleurs à la miction (brûlures).

Le sens de la cystite : Le sens du marquage de territoire est de pouvoir uriner suffisamment pour imprégner les limites de son territoire de son urine. Si une personne est en conflit de marquage de territoire (ex: ma mère vient se loger chez nous le temps des vacances, je peux par exemple avoir comme ressenti/sensation d'être "envahi dans mon territoire"). Le cerveau interprète archaïquement je dois produire plus d'urine pour délimiter et défendre mon territoire .

En phase de conflit actif (quand ma mère est là), la muqueuse vésicale se creuse, des ulcères se forment, pour accroître la contenance de la vessie (plus de volume) et rendre le marquage plus efficace.
Les symptômes de la cystite apparaîssent après la solution du conflit (ma mère rentre chez elle..Ouf! je me sens enfin chez moi!), il n'y a plus besoin d'accroître la contenance de la vessie pour marquer le territoire, il s’agit maintenant de reconstruire, réparer la muqueuse, avec les phénomènes habituels de réparation du corps, l’oedème et l’inflammation, c'est le début du symptôme de la cystite.

Autre exemple pour comprendre

  • C’est l’histoire d’une femme d’ouvrier qui, contrairement à ses voisines, est privée par son mari du rôle de maîtresse de maison. C’est lui qui décide de tout: les achats, l’aménagement de l’appartement, et il lui donne de l’argent au compte-gouttes. Elle finira par faire une cystite chronique mensuelle le jour où son mari reçoit sa paie.
  • Un autre exemple est celui d’une mère qui, depuis le retour au foyer de sa fille divorcée, a une infection urinaire, car elle avait installé son bureau dans l’ancienne chambre de sa fille et, depuis qu’elle est revenue de façon imprévue, elle ne peut plus organiser son territoire comme elle veut.


Mais, comme le dit Christian Flèche, le spécialiste en Décodage Biologique, celui-ci n’est pas une promesse de guérison,  il ne tient pas les clefs de la guérison, ce n’est ni une vérité ni une certitude. C’est une ouverture, une curiosité, un champ d’hypothèses avec le thérapeute pour vis à vis. Mais seul le patient pourra faire le chemin.
 
Il existe des centaines d’ouvrages sur la signification des maladies.

  •  Mon Corps pour me Guérir - Décodage Biologique Des Maladies Christian Flèche
  •  Dis moi où tu as mal » de Michel Odoul.

Je vous conseille particulièrement le livre de Bernard Tihon, l’auteur de l’ouvrage « Le sens des maux », publié aux éditions Néosanté. Bernard Tihon est un juriste et comme il dit : "Nous les juristes, nous savons que les lois sont toutes aléatoires, régulièrement transgressées, et que les avocats et les juges en donnent des interprétations divergentes. Alors la loi ne nous fascine pas.
Ce qui nous passionne, c’est de décortiquer les lois pour les appliquer à des cas particuliers. C’est, à partir des grandes lois humaines (en gros, les mêmes depuis l’Antiquité, et j’ai même envie de dire : depuis la création du monde), de trouver les pistes qui aideront les autres à résoudre leurs problèmes et qui les passionneront le temps du partage d’une lecture.  

En quoi cette « mal-a-dit » est-elle une solution de survie du cerveau inconscient et pour résoudre quel conflit ? Là est la question que l’auteur cherche à résoudre à chaque fois en explorant plusieurs pistes d’interprétation des maux et en s’inspirant des découvertes des illustres décodeurs qui se sont déjà exprimés sur le sujet.

Le Décodage Biologique ne remplace pas une consultation avec un médecin ou un autre professionnel de santé tel qu’un psychologue ou un ostéopathe. Il agit en complément.


Et vous, avez-vous observé à quel moment de votre vie, une maladie est survenue ? A quel moment,  si vous souffrez de maladies chroniques, les symptômes apparaissent-ils ?

Source : Article inspiré du site http://shiatsu-bordeaux.com/decodage-biologique/